En annexe de l’article précédent concernant la manière de conduire le cheval il me semble utile d’expliquer les fautes les plus communément commises par les cavaliers en ce domaine ainsi que les répercutions négatives que cela entraîne sur la « non » obéissance ou l’équilibre du cheval.
Certaines fautes sont volontaires et dues à un enseignement inadéquat de la part du professeur ; d’autres sont dues au fait des propres dissymétries de notre corps et à ce point de vue tous les cavaliers ne sont pas égaux physiquement parlant.
Conclusion de cet article : relire l’article précédent (et les autres) pour se rappeler ce qu’il faut faire mais aussi faire appel à un moniteur qui pourra visualiser ce dont vous ne vous rendez pas compte. La « bonne conduite » est l’élément clé pour atteindre un bon niveau comme cavalier-éducateur sans devoir atteindre ou attendre un niveau de connaissances ou de savoir-faire supérieurs et ainsi pouvoir rendre un cheval souple, équilibré et agréable à monter. Après avoir vu comment faire, les fautes les plus fréquentes ainsi que leur résolution partielle (un bon enseignement de base étant de très loin la meilleure prévention) je vous parlerai encore de tourner dans le prochain article.
Etienne Patigny
Ecuyer fédéral niveau 3